Bonjour Sandrine, bonjour Colette, bonjour les «répondeurs»,
Je n’ai pas d’âge, et je suis appelé «papou», un mot qui n’est pas officiel, mais qui sonne mieux que «papapy». Je suis un papa d’enfants, en âge d’être un papy, ce qui fait de mes enfants d’être en âge d’être plutôt mes petit* enfants et qui, de ce fait, profitent de mon attitude d’être en même temps leur père, avec une éducation complémentaire, à celle d’un grand père. Bref, n’étant pas dans l’art d’un grand comique comme Raymond Devos, ceci n’empêche pas cela.
Je ne dis pas ça que pour raconter ma vie, mais pour dire que la vie m’en raconte. Elle m’en raconte tellement, que tout ce que j’ai pu apprendre à l’école, entre le français qui est la plus belle langue au monde, en est aussi la plus compliquée. Je pense surtout qu’elle s’est construite sur les bases du Grec et du Latin, et que traversée par de multiples civilisations, en effet, elle me semble plus utile à l’art qu’à la communication, mais quand même, essayons, me semble-t-il, de rester logique.
Bien sûr que ma logique est de rendre à César ce qui lui appartient. En moins de mots de dire ou à dire au masculin ce qui est masculin, et au féminin ce qui est féminin. Ce qui n’empêche pas de prononcer «en féminin» ce qui est masculin, puis que l’on dit un bel après midi au lieu de beau, adjectif face à «une» voyelle, comme on dit un bel animal. Je pense qu’il s’agit d’un art à chanter en parlant, plutôt que «de chanter» en parlant, bien que les deux se disent, mais le sens n’est plus le même, à mon sens bien sûr.
Je suis arrivé sur ce site, parce que dérangé par un journaliste, d’un journal télévisé, qui m’a souhaité «une belle après-midi. Sur ce «coup de gueule» intérieur, j’ai fait appel à Google, 🙂 lol, pour en tomber (sans me faire du mal, avec ou sans «du») à choisir ce site d’explications.
Avant de répondre, j’ai suis allé jusqu’au début, pour lire les 36 réponses, vers le bas, comme la position du 3 l’indique aussi. J’ai été amusé avec les «remarques», d’ailleurs remarquées par les réponses qui en ont suivies, merci Sandrine, aussi en ferai-je aussi, sur le modernisme, qu’on pourrait exprimer «à la moderne», car comme le «etc. ou le etc…», curieusem*nt j’ai appris la seconde forme, qui aurait pour moi une manière de traduire par les deux points suivant ou suivants, verbe ou adjectif, un sous-entendu de répétition, tout autant que «à la moderne», ou le «la» précéderait le mot «forme» retiré de la phrase.
L’intégration est un mot de plus en plus utilisé, pour remplacer le mot éducation ; qu’en pensez-vous? Avec mes enfants petit*, ma descendance risque de s’arrêter là pour moi, car le monde devient surpeuplé. Aussi, non seulement je me dois d’éduquer mes enfants, mais en plus, en utilisant le double langage, celui qui me fut appris à la maison, comme à l’école, et celui qui, lorsque j’avais aussi eu, avant eux, leur âge, et que nous parlions dans la cours de récréation comme dans la rue, mais en l’absence de la présence de personnes adultes, surtout celles de qui nous étions connus. Aujourd’hui, j’ai toujours mal aux oreilles, lorsque j’entends les enseignants, du public, parler avec un langage grossier. Mais bon, encore des corrections à apporter à la maison, à l’intérieure de laquelle, comme à l’extérieur, j’évite de m’y habituer, mais c’est fou comme je suis moins bien compris. C’est vrai, les jeunes ne savent pas ce que sont les mots polis que j’avais appris, alors, je les dis dans une autre langue, et des fois, ça passe !!!
Ainsi, je ne rejette pas le vocabulaire de mes enfants, pour rester «dans le vent», tout en leur demandant de me traduire, j’accepte leur langage, et je les informe de la version officielle.
Je ne parle pas des texto, sans ou avec «s», des «k» plus courts à écrire que les «que», et tout ce que vous en savez. Sans ouvrir non plus la porte de l’Assemblée Nationale», avec les nouvelles lois sur l’école, je n’exagérerai pas qu’avec le français, nous avons plusieurs mots à choisir pour écrire ou parler une phrase, alors que nous voisins anglo-saxons, font plusieurs phrases différentes avec un même mot, dont la signification vient de tous ceux des autres qui l’entourent. Nos politiciens qui emploient un vocabulaire, non permis aux journalistes télévisés, bon, pas de hors sujet.
Bref, à lire certaines réponses, sauf humour volontaire, dommage que la raison moderne, voire peut être aussi ancienne pour d’autres, aie du mal à passer, mais il faut bien le dire, difficile de comprendre correctement, surtout lorsque le «ton» n’y est pas. Et que dire de «pécunier» au masculin, alors que le mot, dans les deux genres, se prononce «pécuniaire».
Merci Sandrine pour ces billets.